Annapurnas : le trek de Poon Hill
Récit de notre trek face aux Annapurnas, sur l’Himalaya. Deuxième partie : Le trek.
Après une bonne préparation et avoir trouvé un guide dans nos tarifs, place au trek de Poon Hill. Il est touristique, mais à notre niveau. Il nous emmène à 3 210 mètres d’altitude face à la grande chaîne des Annapurnas. Penser à cette nature intacte qui nous attend là-haut nous donne déjà des frissons. Himalaya, nous voilà !
Découvre les préparatifs en première partie.
Annapurnas : Nayapul – Ullery (1 960 m)
On rencontre Dilip, notre guide, le 1er jour du trek à 8 heures. On part en voiture pour Nayapul, la balade dure 1 heure.
Jour 1 vers les Annapurnas : 6 heures de marche
Enfin la balade … Ça valdingue dans tous les sens, on roule les fenêtres fermées à cause de la poussière et les nids de poule ont des nids de poule, mais on profite déjà des somptueux paysages népalais.
Le TIMS et l’ACAP
Arrivés à Nayapul (1000 m), il faut d’abord s’enregistrer aux checks posts pour le TIMS et L’ACAP. On n’y pensait pas avant de venir, mais c’est très cadré. Il faut signaler le premier jour qu’on rentre dans la zone des Annapurnas puis passer aux checks posts installés dans les villages pendant le trek et enfin repasser le dernier jour pour dire qu’on est bien sortis de la zone.
On distingue au loin le premier sommet :
Machhapuchhre alias Fish Tail soit la queue de poisson (6 993 m).
Les premiers kilomètres se font le long de la rivière et le soleil tape, ça monte tout de suite. Sur un trek assez touristique, on est plutôt seuls pour l’instant. On traverse la rivière sur des ponts à plusieurs reprises, et petit à petit on s’élève pour voir se dessiner la vallée et les rizières derrière nous.
Les restaurants
La pause de midi à Hile donne l’occasion à nos dos de prendre l’air et de sécher un peu. La bonne nouvelle, mis à part le beau temps, est que l’assiette est bien remplie. Nous prenons un mélange de riz, de légumes et d’œufs frits. un bon plat de trekkeur. Il y a du choix et des variantes de ce riz avec ou sans œufs ou avec viande, les mêmes versions avec macaronis, spaghettis ou nouilles chinoises et le traditionnel Daal Bhat, mélange de riz et de lentilles épicées servi à volonté.
Ici, faut pas chercher midi à quatorze heures…
Les menus sont édités chaque année par le Sanctuary Tourism Entrepreneurs Committee. Leurs prix, comme celui des chambres, sont également les mêmes par village, mais augmentent avec l’altitude.
Les 3 300 marches
Le plein de carburant fait, on repart de plus belle et 1 heure plus tard on s’apprête à affronter la première grosse difficulté du trek : les 3 300 marches qui mènent à Ulleri (1 960 m). Le soleil cogne et nos mollets veulent déjà faire demi-tour, mais nous nous efforçons de suivre notre guide qui avale les marches 2 par 2. Sur la pointe des pieds. Les mains dans les poches. En sifflotant. Il pourrait fumer une clope que ça serait pareil.
On croise un groupe de 11 Belges dont certains n’en mènent pas large puis nous arrivons enfin à Ulleri. Nous venons de prendre un dénivelé positif de 1 000 mètres dans les cuisses et la pensée d’une potentielle douche chaude nous réconforte déjà.
Les lodges
Notre guide s’arrête dans une guesthouse. Les lodges et guesthouses sont facilement reconnaissables, elles sont toutes peintes en bleu. Il est 15 heures, nos sacs se reposent dans une chambre très peu isolée et au confort très sommaire pendant que l’on se douche. La douche est quasiment à l’extérieur, mais elle est chaude !
La guesthouse nous offre une vue magnifique sur la face sud de l’Annapurna (7 219 m) et son sommet voisin Hiunchuli (6 441 m) rougeoyants déjà face au soleil couchant.
Notre début de soirée se passe devant la télé du salon à regarder une série télé en hindi en rêvant d’un bon gros plat savoyard plein de fromage dégoulinant. Dès dix-sept heures, il fait déjà nuit.
Autour du poêle
On se retrouve agglutinés autour du poêle à bois avec une bande de Népalais venus trekker en famille et une Suissesse habitant Boston. L’un des Népalais, avocat à Katmandou, nous demande de lui dire quelque chose de spécial sur la France. Puis regrette presque instantanément sa question lorsqu’on lui raconte qu’on y mange des escargots. L’occasion pour Maxime de répondre à une multitude de questions portées essentiellement sur le vin français.
Une interview de courte durée puisque l’extinction des paupières a lieu vers vingt heures trente. Il fait très froid, l’occasion de tester la fonction couplage de nos sacs de couchage.
Annapurnas : Ulleri – Ghorepani (2 874 m)
On se réveille 1 heure avant l’heure prévue, 6h30, car la famille de Népalais a décidé de partir avant le lever du soleil et d’emporter notre sommeil avec eux. Les « murs » sont tellement fins qu’on les entend bâiller.
Grâce à la crème de massage utilisée la veille, nous sommes d’attaque pour reprendre notre montée. Il y a encore et toujours des marches, elles semblent interminables.
Jour 2 vers les Annapurnas : 4 heures de marche
On peut admirer les cascades, se rafraîchir de temps en temps et remplir les gourdes. Le soleil est encore avec nous et la chaleur nous fait vite quitter les polaires.
Les ânes et les buffles
On croise souvent des ânes monter ou descendre chargés de moellons, de sac de ciment et même de cages à poules. Gare à vous ! Ils foncent tête baissée sans se soucier de l’obstacle. Ils essayent même de nous pousser parfois, la règle étant de bien rester du côté de la montagne et non du vide.
Les buffles broutent paisiblement et parfois à flanc de colline. On se demande même comment ils font pour arriver jusque là.
Ghorepani
On arrive à Ghorepani vers midi. La joie est de courte durée, car nous sommes en bas du village (1 700 m). Après le passage obligatoire au check post du coin, notre guide nous informe que ce n’est pas fini, il faut atteindre le haut à 2 874 mètres d’altitude. L’affaire de vingt minutes, une bagatelle.
La face sud de l’Annapurna
Encore une fois notre guide nous prend une guesthouse de premier choix : une chambre avec vue sur la face sud de l’Annapurna. La montagne nous lorgne et nous appelle. Elle semble tellement proche qu’on pourrait presque la toucher. Si belle que notre fatigue s’évapore à mesure qu’on l’observe.
Cette fois nous avons droit à un après-midi entier de repos. Nous passons notre temps au coin du feu, à discuter avec des Allemands, des Suisses-Allemands et des Australiens en buvant le black tea du coin. Toujours à côté du poêle à bois de la pièce principale. Pratique pour sécher les vêtements et se reposer au chaud.
Nous apprécions ce moment, car demain nous nous levons à quatre heures trente pour monter au sommet de Poon Hill et voir le fameux lever de soleil sur les Annapurnas. Puis nous aurons huit heures de marche jusqu’à Tadapani. Une journée bien remplie quoi !
Après notre indispensable massage, nous nous couchons à dix-neuf heures trente sans savoir si nous arriverons à enchaîner 1 heure de montée avant l’aube puis huit heures de marche. Tout ce que nous savons c’est que le froid, lui, arrive bien jusqu’à nous. Mais bon, la fatigue nous aide quand même pas mal à dormir.
Annapurnas : Poon Hill (3 210 m)
On est debout à trois heures cinquante, sur le pied de guerre ! On est excités, le matériel est prêt : Doudounes, vêtements techniques, bonnets, gants, lampes frontales, appareil photo, mollets, etc.
Jour 3 vers les Annapurnas : 8 heures de marche
Une seule chose manque à l’appel : notre guide. On le voit débarquer à 4h30, les yeux à peine ouverts, en s’excusant d’avoir loupé son réveil. Mais rien ne pourrait entacher notre moral en cette si belle mati… nuit. À part bien sûr d’arriver là-haut après le soleil.
Poon Hill
On y va donc de bonne allure, motivés comme jamais. La douleur d’un réveil brusque et sans petit déjeuner est tout de même bien présente. On passe l’entrée de Poon Hill pour laquelle il faut payer 50 roupies (compris dans le trek), puis ce sont des marches jusqu’au sommet. Des marches et encore des marches, on souhaite vite que ça se termine ! Mais on monte tellement vite que le froid n’a pas le temps de faire sa loi et nous arrivons au sommet en 50 minutes au lieu de l’heure et demie promise.
Nous prenons place face aux montagnes encore endormies.
Les premières lueurs bleutées apparaissent au-dessus de la chaîne de montagnes que nous distinguions à peine il y a quelques minutes. Nous étions seuls, puis rapidement une suite de petites lueurs se dessine le long des marches que nous venons de gravir.
Ce sont les autres trekkeurs qui se présentent en file indienne pour venir contempler cette chaîne de sommets où l’on devine seulement la blancheur des neiges éternelles.
Nous sommes désormais une trentaine à attendre dans la pénombre, à trépigner d’impatience.
La chaîne des Annapurnas
Les premiers rayons se frayent un chemin jusqu’aux plus hauts pics. Face à nous les sommets Annapurna South (7 219 m), Hiunchuli (6 441 m), Gangapurna (7 455 m), Machhapuchhre (6 993 m) et surtout Annapurna I (8 091 m) le 10e sommet le plus haut du monde.
Tour à tour, ils prennent leur bain de soleil et passent progressivement du blanc immaculé à l’orange pour virer au jaune doré. Plus à l’Est, un peu à l’écart, la chaîne des Dhaulagiri, dont le sommet principal culmine à 8 171 m, semble attendre son tour. Elle nous observe en silence nous extasier de ce délectable nectar de Soleil qui inonde doucement ces amas de pierres que les années ont poussés jusqu’au ciel. Ici le temps n’a plus d’emprise…
Nous savourons chaque instant et mesurons la chance qui est la nôtre de pouvoir contempler ces merveilles de la nature pour qui nous ne sommes que deux visiteurs de plus. Après ce moment intime, nous les quittons avec une pointe de tristesse, comme si nous étions désormais étroitement liés d’avoir assisté à leur réveil.
Ghorepani – Bhaisikharka
La descente dure vingt minutes, le ventre vide aidant, nous nous rapprochons de notre petit déjeuner à grands pas.
Nous repartons dans la foulée, direction Tadapani. Notre guide annonce que deux difficultés nous attendent et le reste c’est du gâteau. Dès le début, nous sommes cueillis à froid par une montée titanesque.
La pente est très raide, le soleil tape et les jambes souffrent. Et on n’en voit pas la fin. On monte, on monte et on continue de monter et de souffrir. Y a-t-il seulement un sommet ? Tandis que l’on observe, entre deux gouttes de sueur descendues du front, notre guide grimper cette montagne à grandes enjambées, avec l’insolente aisance du bouquetin.
Après 40 minutes nous arrivons au sommet de Gurung Hill, récompensés par une nouvelle vue imprenable sur les Annapurnas, plus de côté cette fois. En face, nous pouvons apercevoir Poon Hill, abandonnée plus tôt ce matin. Une vue différente, mais tout aussi belle, on a cette étrange impression de proximité avec les montagnes.
Deurali
Après une belle séance photo, nous repartons pour une douce descente. Un peu de repos pour nos jambes. La pause thé à Deurali (3 103 m) se fait en compagnie des chèvres et des boucs.
Nous descendons toujours, sur des marches tout le long quasiment. Les villages se font plus rares que lors de la montée. On croise des trekkeurs qui marchent en sens inverse, toujours les porteurs avec des charges hallucinantes sur le dos et les ânes dont l’allure nous fait mal à voir.
On se retrouve d’un coup à marcher à travers un paysage devenu forestier, magie du Népal. Il y a des singes dans le coin, malheureusement aucun ne daigne venir nous saluer.
Tadapani
Nous marchons désormais avec notre chaîne de montagnes sur notre gauche. Oui, c’est la nôtre depuis ce matin. Elle semble vouloir faire un bout du chemin retour avec nous, pour notre plus grand plaisir.
Après la pause déjeuner arrive la seconde grosse difficulté du jour, les marches jusqu’à Tadapani (2 721 m). Il y a 45 minutes de montée, encore des marches. On va vous confier un secret : les marches, on n’en peut plus !
L’arrivée est une vraie délivrance, on sait que le plus dur est passé. Tadapani est un village étape où beaucoup de trekkeurs s’arrêtent. Trop bruyant selon notre guide qui nous propose de continuer 1 heure de plus.
On arrive à Bhaisikharka à quinze heures. Nous sommes contents, car, au lieu des 8 heures prévues, nous avons marché six heures. Une bonne perf’ pour des novices, non ?
Le village de Bhaisikharka
Le village est très petit et la guesthouse peu confortable, mais les gens y sont très accueillants. La douche est même bouillante, chauffée grâce au poêle à bois, où nous avons rendez-vous comme chaque début de soirée. On se couche à vingt heures, dans le froid et épuisés par cette nouvelle journée, mais tellement heureux.
Annapurnas : Bhaisikharka – Syauli Bazar (1 638 m)
Le petit déjeuner englouti, on part à 8 heures. Les muscles froids sont mis à rude épreuve d’entrée de jeu avec des marches humides de rosée. On fait bien attention où l’on met les pieds, surtout Maxime avec ses dix kilogrammes sur le dos. Ça serait dommage de finir le trek sur une mauvaise note, non ?
Jour 4 vers les Annapurnas : 5 heures de marche
Nous sommes dans le district de Ghandruck et bientôt nous traversons le village du même nom. Les Gurung habitent ici. Une ethnie réputée pour sa fabrication de miel.
Parfois il est difficile de trouver un bon restuarant en montagne.
Une fois le village passé nous nous rapprochons de la vallée où les rizières se succèdent de part et d’autre. On se retourne de temps en temps pour vérifier que nos montagnes sont toujours là, puis nous continuons, rassurés d’avoir aperçu la pâleur de leurs sommets.
Peu avant midi, on redécouvre un bout de route praticable pour les véhicules, il y a même des Jeeps qui ramènent les marcheurs les moins courageux ou à bout de force à Nayapul. On ne connaît pas les prix, mais la balade ne doit pas être donnée.
Un peu plus loin se trouve le départ et l’arrivée des bus, toujours pour ceux qui voudraient grignoter quelques kilomètres avant de commencer leur effort.
Même si nous sommes contents de continuer à pied, voir un bout de civilisation, aussi polluant soit-il, procure une sensation de réconfort après quatre jours loin de tout.
Sauli bazar
Notre guide bifurque sur un petit sentier parallèle à la route classique qui passe au cœur des rizières. Les petits affluents de la rivière surgissent régulièrement par des petites chutes d’eau comme pour nous montrer le chemin. Puis nous arrivons enfin jusqu’à elle. C’est d’ailleurs auprès de la rivière que l’on s’arrête pour la nuit. Elle est très large et le courant est très fort, on se croirait vers une immense chute d’eau.
On se repose et on passe notre après-midi à faire des photos de notre nouvel environnement. Décidément, le Népal nous dévoile ses plus beaux atouts lors de ce trek.
Voilà, maintenant elle veut grimper de partout.
Nous distinguons encore au loin la queue de poisson qui semble déjà nous regretter.
On se couche tôt, comme à notre habitude. Nous passons notre dernière soirée à nous remémorer les belles étapes de ce trek, qu’on aimerait prolonger encore un peu.
Annapurnas : Syauli Bazar – Nayapul (1 000 m)
Nous partons à huit heures, en même temps que les écoliers népalais du coin. Ils font la route chaque jour, parfois en tongs. On repense à notre jeunesse lorsque l’on trouvait dur de se lever pour prendre le bus.
Jour 5 vers les Annapurnas : 2 heures de marche
On arrive à Nayapul tranquillement, euphoriques de notre aventure. Bien entendu 58 taxis nous attendent pour tenter de nous ramener à Pokhara, mais nous prenons le bus. 1 heure plus tard, nous avons définitivement abandonné nos montagnes pour la ville et notre hôtel. Où nous observons pendant plusieurs jours un repos bien mérité.
Aujourd’hui par le biais bénéfique de ce voyage autour du monde et cette étape népalaise nous changeons de vision. Nous avons vu de nos propres yeux ce que la nature fait de plus grand. Ces montagnes de l’Himalaya que certains chérissent tellement qu’ils vont jusqu’à braver tous les dangers pour atteindre leurs sommets.
Nous arrivons désormais à comprendre pourquoi cette obsession les habite.
Par ce trek, nous réalisons un rêve et atteignons un but. Le rêve de fouler l’Himalaya et le but de réussir un trek pour nous qui n’étions jamais partis plusieurs jours pour marcher en montagne.
Le Népal nous offre ce souvenir unique et impérissable qui ne nous donne qu’une seule envie : recommencer !
Marchez sur nos pas !
Nos logements durant le trek
- Ulleri – Pratap Guesthouse.
- Ghorepani – Hill View Guesthouse.
- Bhaisikharka – Nisha Gueshouse.
- Syauli Bazar – Syauli Bazar Guesthouse.
Les prix varient en fonction de l’altitude. Plus vous montez, plus vous payez !
On a fait quelques économies grâce à nos gourdes et nos pailles Lifestraw.
Quelques ordres de prix
1 € = 115 Roupies népalaises (NPR)
Chambre :
- Simple : 250 à 300 NPR
- Double : 400 à 500 NPR
- Sans repas : 1 500 NPR
Eau :
- Minérale : 60 à 90 NPR
- bouillie : 50 à 70 NPR
Boissons :
- Thé : 50 à 120 NPR
- Coca : 120 à 250 NPR
- Bière : 250 à 500 NPR
Pour 1 plat, comptez 300/400 NPR en bas et jusqu’à 750 NPR au plus haut.
Il revient moins cher de manger en lodges, car outre le prix surélevé de la chambre si vous ne prenez pas le repas chez eux, vous serez taxés sur le réchaud. De même que l’eau chaude peut être payante (env. 150 NPR) dans certaines lodges/guesthouses.
Comments (10)
Bonjour,
j’envisage de faire le trek de Poon Hill vers Février/Mars, pensez vous que cela est possible de dormir en tente comme je l’avais envisagée ou est « obligatoire » de dormir en lodges ?
Merci d’avance !! 🙂
Bonjour,
Je ne sais pas du tout, nous n’avions vu que des lodges. Les locaux pourront vous aider à ce sujet.
Bon voyage 🙂
Maxime.
Bonjour,
votre récit est superbe et cela donne envie.
Personnellement j’ai mon billet d’avion pour le 30 septembre 2017 en direction du Népal, pour une aventure en backpack d’un mois. J’ai tellement hâte et votre récit fait tellement rêver mais je vais réaliser ce rêve dans moins d’un an ! 😀 Par contre moi je pars seul, je pense rencontrer d’autres backpackers sur place, et je compte le faire sans guide… Bien à vous
Merci beaucoup Julien.
Cela va être un super souvenir pour toi, on a vraiment vécu quelque chose d’exceptionnel et on est déjà prêts à recommencer.
C’est tout à fait possible sans guide, mais c’est vrai que c’était un plus pour nous pour tous les « à-côté ». Pour la route tu ne peux pas te perdre 😉
Bon préparatifs à toi.
Gaëlle & Maxime
Quelle magie ! Rien qu’en lisant votre récit j’en ai des frissons … Amoureux des montagnes que nous sommes, le Népal est définitivement sur notre liste de pays à visiter au plus vite 🙂
Dans un mois on sera au Myanmar nous et on a HATE !
Bonne continuation et vivement la suite de votre aventure
Pauline F
On vous le souhaite vraiment, un pays magnifique où il n’y a pas que des montagnes d’ailleurs ! 😉
La Birmanie c’est bientôt aussi pour nous, peut-être qu’on s’y croisera qui sait.
Merci beaucoup et à bientôt,
Gaëlle et Maxime
Un seul mot:
SUBLIME
Le Népal, on vous souhaite de le découvrir un jour.
Merci 🙂
Bisous à vous 2
Bravo, c’est comme un premier pas, un nouveau départ dans votre grand départ de tour du monde. Tous les sentiers n’ont pas que des marches et encore des marches ! C’est vrai que c’est dur sur les jambes, mais vous vous en êtes bien tirés et vous avez goûté des paysages splendides. Cela nourrit l’âme pour longtemps. Bravo et bonne suite…peut être ferez vous d’autres randonnées ? Belles fêtes de fin d’année ! Amitiés, Elisabeth
Merci beaucoup Elisabeth ! Et oui le Népal est un pays tellement beau, une partie de nous est encore là-bas. Nous espérons bien sûr en faire d’autres et ce tour du monde est l’occasion rêvée 😉
Merci encore et bonnes fêtes de fin d’année à vous aussi.
Amitiés
Gaëlle & Maxime