Bilan du PVT en Nouvelle-Zélande
Regarde ta montre, il est exactement l’heure du bilan de mon PVT Nouvelle-Zélande.
Flashback : on est en 2017. Frais comme un gardon de trois semaines au soleil, je rentre de voyage. La France est championne du monde de roller in line et les One Direction en prennent désormais plusieurs. Les planètes sont alignées, je me dirige vers un PVT. Un an plus tard, le Wakanda tarde à proposer son PVT, il y a bien l’île de Ré, mais je boycotte le train depuis la démission de ma carte 12/25 : ce sera la Nouvelle-Zélande. Un an de PVT après l’année plus tard, j’aime la Nouvelle-Zélande, mais je la quitte. Et ça, ça fait mal. Mal comme un genou qui fait la bise à un coin de table. Mal comme mémé qu’on a impunément jetée dans les orties. Presque aussi mal que Kevin qui rate l’avion…
Aujourd’hui, à la force d’un mental à toute épreuve, je relègue cette terrible douleur au rang de simple information pour vous établir le bilan de mon PVT Nouvelle-Zélande.
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Bilan du PVT en Nouvelle-Zélande
Mon itinéraire
Un itinéraire qui s’est fait de lui-même au gré de mes envies, des boulots trouvés et de mes rencontres. La plupart du temps j’avais très envie de rester dans l’île du Sud. L’autre plupart du temps, mon compte en banque avait très envie que je travaille.
J’ai commencé et fini par quelques jours à Auckland, les premiers pour l’administratif et les derniers pour vendre mon van. Je suis ensuite parti à Christchurch pour faire un Workaway, acheter et aménager mon van pendant 3 semaines. Puis j’ai alterné entre les boulots (vignes, myrtilles, échafaudages, déchetterie, etc.) et les road trips jusqu’à la fin du PVT en prenant l’extension de 3 mois.
Bilan du PVT en Nouvelle-Zélande : le Working Holiday Visa
Côté Working
On va se dire la vérité honnêtement sans se mentir, la Nouvelle-Zélande ne vous laissera pas enfiler des perles en toute impunité. Seuls les vendeurs de colliers de perles y seront autorisés sur présentation d’un diplôme officiel. Pour subvenir à vos besoins, il va falloir bosser dans tout et n’importe quoi. Traire des vaches, ramasser des fruits, livrer des poubelles neuves, etc.
Je vois d’ici vos yeux papillonner à l’idée d’ajouter toutes ces compétences uniques à votre CV, qui gravira par conséquent jusqu’à leurs sommets les montagnes de CV érigées par les patrons français. Le versement du salaire est hebdomadaire ou bihebdomadaire et comprend les congés payés sauf lorsqu’ils sont versés en fin de contrat.
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Côté Holiday
Holiday ça veut dire vacances. Nul besoin du Petit Robert pour définir au Français lambda un mot qui gîte naturellement sur ses lèvres depuis sa tendre enfance. L’un des principaux aspects pratiques du PVT, c’est qu’on arrête de bosser quand on veut et qu’on peut reprendre à peu près où on veut et quand on veut (sauf si c’est stipulé dans le contrat, mais c’est rare dans les boulots saisonniers). C’est certes moins plaisant que de prétexter un burnout et tellement moins fun que de mettre de l’huile de vidange dans le café du patron pour se faire virer, mais c’est le goût de la liberté qui surfera sur vos papilles gustatives.
Côté Visa
Il m’a fallu moins de dix minutes pour faire la demande et moins d’un jour pour le recevoir par mail. Une fois ma future migration acceptée par le gouvernement, j’avais un an pour fouler de mes pieds délicats la contrée des Maoris. J’ai obtenu l’extension de trois mois, deux semaines après la demande.
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Bilan du PVT en Nouvelle-Zélande : j’ai aimé
La vie en van
La vie en rose, la vie en van et la vie d’ange. L’avis d’un backpacker est formel, ces trois notions ont une évidente corrélation. Le pays du long nuage blanc se prête à merveille au quotidien en studio motorisé à travers ses infrastructures gratuites ou peu chères qui sont légion dans tout le pays. Bien évidemment cette liberté a ses limites puisqu’elle s’arrête là où commencent les règles du gouvernement qui stipulent qu’en plus d’être de très mauvais goût, la fête du slip n’est point tolérée en ses terres.
Un freecamp face au mont Taranaki.
Quant à savoir si on loue ou achète son véhicule, tout dépend de la durée du séjour. Mais si vous restez plus de 2 mois et que vous voulez voir perdurer la bonne entente qui règne entre vous et votre banquier, c’est mieux d’acheter pour revendre en partant.
Les Kiwis
Passé la sensation d’un voyage dans le temps et dans le nord de notre bien-aimée Gaule, les coupes mulets et autres voitures tunées abritent des êtres humains de qualité supérieure. Un optimisme communicatif et une propension à vouloir aider son prochain, le prochain et même le suivant font des Néo-Zélandais des êtres de lumière à mes yeux.
Le « take it easy » est répandu au boulot, l’ambiance est toujours cool et un problème n’en est jamais vraiment un. La pratique de l’anglais où le vouvoiement n’existe pas simplifie grandement les rapports entre patron et employé.
Comme de partout, certaines rencontres ont été quelconques voire désagréables. Mais réunir autant de bonté sur deux îles à faible densité humaine, c’est beau. Presque aussi beau que la fois où cette Miss France avait dit qu’elle aime pas la guerre qui fait mal à la paix dans le monde.
Cliquez sur les photos pour les agrandir.
Les Great Walks & randonnées
En Nouvelle-Zélande, il y a deux choses qui frappent :
- le nombre incroyable de randonnées disséminées de partout dans le pays,
- les All Blacks quand tu les rencontres sur un terrain de rugby.
Mais comme j’ai plus de chances d’intégrer les Men In Black pour aller chasser des cafards géants que d’affronter les All Blacks juste avant de décéder des suites de mes blessures dans d’atroces souffrances, on va plutôt se concentrer sur les randonnées.
Si moi j’ai peur des All Blacks ??
Parmi ces innombrables randonnées, il y en a 10 réputées spectaculaires et qu’on appelle les Great Walks. Great walks ça veut dire « super marcher » littéralement. Mais ici, on n’est pas chez les pantouflards. Donc, on oublie Leclerc le samedi matin. On enfile ses plus belles chaussures de marche, un sac à dos et c’est parti mon kiwi !
Répertoriée parmi les Great Walks ou non, chaque randonnée offre des paysages d’une grande beauté et les luxations du nerf optique sont assez courantes. Avant d’intégrer le pays, regardez d’abord des photos afin d’habituer vos yeux à des paysages de qualité supérieure.
En 1 an, j’ai battu des sentiers déjà battus, abattu des kilomètres, combattu des dénivelés et débattu face à des paysages pour savoir s’ils sont hors du commun, vraiment magnifiques ou juste très beaux.
Bilan du PVT en Nouvelle-Zélande : je n’ai pas aimé
La cuisine
En tant que Français, de surcroît pourvu d’aptitudes gustatives supérieures à la moyenne, c’est d’un œil purement professionnel et à des fins uniquement informatives que j’ai analysé la cuisine en Nouvelle-Zélande.
La renommée de la gastronomie anglaise n’est plus à faire et c’est dans un pays aux mœurs culinaires sans équivoque que j’ai passé l’année. Comment pourrais-je désormais manger un croissant sans y incorporer une douce tranche d’ananas ? Pourquoi devrais-je subir, à l’avenir, un burger sans sa touche de betterave glissée amoureusement entre 2 tranches de tomate et un morceau de « pain » délicieusement imbibé d’une pâle imitation de sauce aïoli ? Oserais-je me délecter d’une côtelette d’agneau ou d’un filet de bœuf de qualité supérieure sans une flaque de sauce à la menthe ?
Je n’ai rien à ajouter à part que cet article est le seul endroit au monde où vous verrez se succéder les mots « gastronomie » et « anglaise ». De plus, sachez que le paragraphe ci-dessus est rempli de mauvaise foi autant que d’huile sont imbibés leurs fish and chips. Manger pendant un an en Nouvelle-Zélande, on en sort grandi… Latéralement !
R.I.P toi, irréductible Gaulois qui, loin des tiens, souffre de devoir manger pour vivre.
Quand tu fais un skype avec un bœuf bourguignon la famille.
L’écologie
On n’est pas là pour juger, mais on va le faire quand même ! Nous les Français, on s’y connaît en écologie, elle a été inventée en France au XVIIIe siècle par Godefroy de Hulot, ancêtre de Nicolas du même nom qui parcourt aujourd’hui la Terre dans son hélico afin d’aller prévenir les ours polaires de vite récupérer leur caution pour déménager à Paris 5. La banquise fond beaucoup moins vite là-bas !
Les déchets en Nouvelle-Zélande ? Au début, ils envoyaient tout en Chine contre une mallette d’argent en petites coupures. Mais un jour, les Kiwis ont dû envoyer un chèque en bois ou oublier un justificatif de domicile, car les Chinois ont résilié leur abonnement. Là, les Néo-Zélandais ont appelé l’Oncle Sam à la rescousse pour lui envoyer leurs déchets dans un joli paquet cadeau. Tout allait bien jusqu’à ce que l’oncle Donald prenne le pouvoir et se mette à vouloir construire des murs pour empêcher les Mexicains de venir boire de la Tequila sur son divan en se caressant les moustaches devant le Super Bowl. Du coup, plus le temps de rien, on résilie l’abo des kiwis. Maintenant qu’ils sont obligés de garder leurs déchets chez eux, les Néo-Zélandais ont dû revoir leur politique en matière d’écologie.
Leur politique, c’est de mettre des poubelles de recyclage de partout et des amendes aux concitoyens récalcitrants pour ensuite mélanger les déchets normaux avec les recyclables et les enterrer dans un trou quelque part aux fins fonds des bois.
- Comment je sais des choses que même le FBI ignore ?
- Parce que j’ai bossé dans une déchetterie pour l’entreprise chargée de gérer les déchets dans tout le pays pendant 5 mois !
#noussachons !
Le possum
Le possum, marsupial herbivore confondu avec l’opossum, rongeur carnivore des États-Unis, a été introduit en Nouvelle-Zélande dans les années 70 pour sa fourrure, parce que c’est tout doux. Tout doux, mais un peu encombrant parce que maintenant ils sont 70 millions, la faute à des prédateurs naturels inexistants.
- Des possums de partout, mais ça doit faire peur !
- À qui le dîtes-vous ma pauvre Josiane !
Mais ne vous inquiétez pas, car le gouvernement a plus d’un tour dans la poche de sa manche. Pour essayer d’arrêter cet animal poilu venu directement de l’enfer, ils ont trouvé deux solutions :
- Alerter les concitoyens en faisant des pubs comme : « Sauvez une forêt, écrasez un possum ! »
- Leur envoyer l’agent 1080, une toxine très puissante, directement dans la tronche pour un peu leur donner envie de mourir et d’arrêter d’enquiquiner tout le monde avec leurs misérables vies insignifiantes.
Là où ils sont forts, c’est que pour être sûr de ne pas les louper, ils balancent tout par avion. Pour ça ils embauchent des pilotes qui savent super bien viser, comme ça ils sont sûrs de ne pas tuer d’autres animaux ou de ne pas plus polluer les cours d’eau et nappes phréatiques qui ont déjà atteint les seuils limites.
Bientôt en salles : La Revanche des Possums !
Voilà, c’est la fin du paragraphe sur le bonheur, les guimauves et l’écologie. Le gouvernement essaye de nous dépeindre un pays porté à fond sur l’écologie alors qu’en réalité, c’est la bonne vieille méthode de tout cacher sous le tapis qui est employée.
Si la devanture du magasin est propre et belle, l’arrière-boutique laisse vraiment à désirer.
Île du nord ou île du sud ?
Quelle île, entre celle du Sud et celle du Nord, est la mieux ? Un débat qui fait rage alors que c’est n’importe quoi. Car chaque PVT est différent, chaque voyageur vit son expérience au gré des rencontres qu’il fait ou des boulots qu’il effectue.
L’île du nord est plus peuplée (3,5 contre 1 million d’habitants dans le sud) et légèrement plus petite. Et même si elle regorge de paysages grandioses et de treks incontournables comme le Tongariro, la Whanganui River ou le mont Taranaki, les spots du Sud sont plus réputés et plus nombreux avec la région du Fjordland, son Doubtfull Sound et son Milford Sound, une flopée de randonnées autour de Wanaka et les plages plus qu’accueillantes d’Abel Tasman et la Golden Bay.
L’heure de la sieste, à Cannibal Bay, île du sud.
Un débat clairement subjectif où chaque partisan aura son mot à dire et ses arguments à avancer. Qu’on soit plutôt Nord ou plutôt Sud, on se doit de respecter chaque avis et de rappeler à son interlocuteur que L’ÎLE DU SUD MET CLAIREMENT LA MISÈRE À CELLE DU NORD !!!
Au delà des gens qui sont plus avenants et souriants, le calme et le côté sauvage font de l’île du Sud un vrai havre de paix. J’ai vécu et dormi pendant quasiment un an dans mon van sans jamais fermer les portes à clé.
Ci-dessous, Routeburn Track, île du sud.
Bilan du PVT en Nouvelle-Zélande : insolite
Le kiwi est un fruit.
Un kiwi est un animal.
Le kiwi est une personne de type néo-zélandais.
La langue des signes est la troisième langue officielle du pays, après l’anglais et le maori.
Ci-dessous, une éponge en Nouvelle-Zélande.
En Nouvelle-Zélande, le passeport est obligatoire pour acheter de l’alcool ou des cigarettes si la caissière estime qu’on fait moins de 25 ans. J’ai même vu un papi se faire contrôler, ça rigole pas la Gestapo des supermarchés !
Le trou de la couche d’ozone n’étant pas loin (à environ juste au-dessus de nos têtes), les chances de ressembler à une écrevisse qui prend un coup de soleil sont réelles. Heureusement, la Société du Cancer pense à vou.
Il n’y a pas de lardons en Nouvelle-Zélande. Une information assez importante pour être soulignée.
Bilan du PVT en Nouvelle-Zélande : les chiffres
En un an et 2 mois, lors de mes 17083 km parcourus en Nouvelle-Zélande, j’ai aussi :
- embarqué dans 2 bus dont 1 de nuit,
- effectué 2 croisières pour aller voir le Doubtful Sound,
- pris 4 fois le ferry pour passer d’une île à l’autre,
- dormi exactement 365 nuits dans Jean-Claude MonVan,
- foulé les sentiers de 14 treks dont certains de plusieurs jours,
- passé 8 nuits en tente,
- presque réussi à dormir pendant 34 nuits en auberge,
- kayaké pendant 3 jours sur la Whanganui River,
- fait 60 pleins d’essence,
- litre d’essence le – cher : 1,85 NZ$ à New Plymouth (île du Nord – 1,07 €),
- litre d’essence le + cher : 2,44 NZ$ à Franz Jozef (île du Sud – 1,42 €),
- presque mourru 1 fois au quasi-sommet du mont Taranaki ,
- visité le pays en 5 road trips,
- reçu 0 amende #citoyenmodèle,
- étoffé mes compétences lors de 6 boulots différents,
- habité chez des locaux en Workaway pendant 21 jours,
- rencontré plein de Bretons et aussi plein de Pasbretons (yec’hed mat – santé en breton, prononcez yermat – sur vous et vos familles ❤),
- mangé en moyenne pour 96,5 NZ$/semaine (56 €),
- abreuvé Jean-Claude MonVan en huile moteur avec 4 bidons de 10 litres et 2 vidanges. #huilecoolique
Bilan du PVT en Nouvelle-Zélande
Re regarde ta montre. Il est exactement l’heure du bilan de mon PVT Nouvelle-Zélande. Plus le temps que t’as mis à le lire.
Je souhaite ponctuer cet article en écrivant qu’une part de la Nouvelle-Zélande vient avec moi tandis que j’en laisse une de ma personne sur ses terres qui me sont à jamais intimes. La part que j’emporte mêle une immuable nuance d’expressions terrestres étonnantes et d’humanité apaisante. Celle que je laisse comporte quatre roues et un volant. Jean-Claude était plus qu’un van. Il était ma maison, mon chauffeur, ma cuisine, mon placard à balais. Alors que j’avais même pas de balais. Et mon partenaire de double au tennis les jours de beau temps. Il était ma force, mon fils, ma bataille, mon van que j’ai construit de A à Z. Jean-Claude, je ne t’oublierai jamais !
Concernant le PVT en Nouvelle-Zélande, avant de s’embarquer dans cette aventure il y a une chose primordiale à ne jamais oublier, c’est de surtout… Ah, on me signale dans l’oreillette que c’est la fin de cet article. Bonne soirée même si c’est le matin et bon PVT Nouvelle-Zélande même si c’en est la fin !
Comments (8)
Merci pour ce super article, quel travail !
J’ai souri, ri et j’ai presque eu envie de verser une larmichette à la fin de la lecture. D’ailleurs ta chute pour conclure est plutôt bien réussie ;).
J’ai visité le pays en van pendant un mois et demi après mon année passée en Australie en PVT, c’est un pays superbe et je suis bien d’accord avec toi, ce débat entre les deux îles est inutile… Quand on passe 10 jours de pluie sur l’île du Nord, qu’on arrive à observer la pointe du Taranaki pendant 10 secondes trente en plein milieu du brossage de dents et à moitié à poil (une vraie victoire) et que le temps est tellement vénère qu’on zappe carrément le Tongariro… Et ben on finit #teamîledusud forever ;).
La séparation d’avec mon van aménagé de A à Z en Australie fut tout aussi déchirante, il me manque mon van d’amour !
Je me note de faire un tour sur d’autres articles de ton blog, en attendant j’ai plus d’1 an et demi de retard à rattraper sur le mien mais j’y crois encore 🙂
Merci, merci et puis encore merci ! (j’ai dit merci ??)
Ah lala ces vans, pire que des gosses ! Heureusement, j’ai des nouvelles de J-C par le couple à qui je l’ai vendu.
Merci d’adhérer à ma secte qui respecte les avis sur les deux îles tout en sachant que celle du Sud est mieux.
Je crois que j’ai tout répondu dans le désordre mais t’as un an et demi de retard, tu t’y retrouvera 😉
J’irai faire un tour sur ton blog, ce commentaire annonce du croustillant à lire 😀
A bientôt 😉
Hello !!! Actuellement en NZ et ce depuis 10 mois, je poussoir quant à ton article et ses « révélations » ! Je suis fraîchement débarquée sur l’île du sud et ai hâte de voir tout ça !!! 🙂
Salut, merci beaucoup !
Profite à fond de l’île du Sud, j’espère que tu y kifferas la vie autant que moi 😉
Maxime ton article est vraiment au top ! Pleins d’infos utiles et des liens par centaines vers d’autres articles aussi intéressant les uns que les autres !
J’avais envie d’aller faire un PVT en NZ mais maintenant … j’ai VRAIMENT envie.
Merci pour cet article . (PS:J’adore ton humour ! ahah)
Merci beaucoup Matthieu, ça fait vraiment plaisir à lire !
Bonne préparation de PVT, tu devrais VRAIMENT kiffer ton année si tout se passe bien 🙂
Encore un super article! J’ai beaucoup ris 😂
Merci beaucoup, un commentaire encourageant qui fait vraiment plaisir 🙂